Design et matériaux : un châssis en aluminium haut de gamme

La KiiBOOM Moonshadow V2 ne passe pas inaperçue sur un bureau. Son boîtier en aluminium usiné CNC confère à la fois solidité et élégance, avec des arêtes poli-miroir et une finition satinée qui capte la lumière sans être clinquante. La variante Silver testée ici arbore un coloris lumineux, tandis que les déclinaisons en rose ou noir apportent une touche de style plus discrète. Chaque vis, chaque passe cable et chaque inscription a été pensé pour offrir une impression de robustesse et de raffinement.

Format 75 % et keycaps PBT : l’équilibre parfait

Avec ses 81 touches, la Moonshadow V2 adopte un format 75 % qui séduit par sa compacité tout en conservant les touches essentielles (flèches, PgUp/PgDn et touches fonctions en rangée). Ce layout réduit l’encombrement, facilite la disposition des bras et augmente le confort de frappe. Les keycaps sont en PBT double-shot, un matériau résistant aux traces de doigts et au ternissement. Leur profil MDA offre un compromis ergonomique : assez plat pour les sessions de frappe rapide, assez creusé pour un placement précis des doigts.

Hot-swap et montage gasket : une frappe sur mesure

Le Moonshadow V2 embarque une carte-mère compatible hot-swap, permettant de remplacer les switches sans soudure. Les passionnés peuvent ainsi personnaliser la sensation de frappe en quelques secondes, en optant pour des switches linéaires, tactiles ou clicky. Le système de montage gasket, avec ses cales en silicone placées entre la plaque et le boîtier, améliore le confort acoustique et réduit les vibrations. Le résultat est une frappe douce, amortie et silencieuse, proche de machines deux fois plus chères.

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Rétroéclairage RGB south-facing : discrétion et efficacité

La barre de LEDs intégrée adopte une orientation south-facing, c’est-à-dire orientée vers l’arrière du clavier pour limiter l’éblouissement direct dans les yeux. Les animations RGB sont fluides, et les réglages via le logiciel QMK/VIA permettent de passer d’une lumière statique unicolore à des effets arc-en-ciel dynamiques. En milieu professionnel, un éclairage blanc ou pastel suffit à rendre les touches visibles sans nuire à l’esthétique épurée.

Connectivité triple mode : USB-C, Bluetooth 5.0 et 2,4 GHz

Le Moonshadow V2 ne se limite pas au traditionnel câble USB-C. Il prend en charge :

  • La connexion filaire USB-C pour une latence minimale et une recharge rapide.
  • La liaison Bluetooth 5.0, compatible avec Windows, macOS, Linux, Android et iOS, idéale pour passer d’un appareil à l’autre en un instant.
  • La fréquence 2,4 GHz via un dongle USB-A, pour une stabilité optimale en gaming et un champ d’action plus large qu’avec le Bluetooth.

La batterie interne de 4 000 mAh, associée à ces modes, offre plus de 60 heures d’autonomie en usage quotidien, et jusqu’à plusieurs semaines si l’éclairage est désactivé.

Personnalisation QMK/VIA : puissance et flexibilité

Les amateurs de claviers programmables apprécieront le support complet de QMK et du logiciel VIA. Chaque touche peut être remappée, chaque combinaison peut être transformée en macro, et plusieurs layers peuvent être configurés pour adapter la Moonshadow V2 à tous les besoins : programmation, retouche photo, écriture ou jeu. L’interface VIA, bien que nécessitant un petit temps d’apprentissage, offre un large éventail d’options pour designer des schémas de touches personnalisés sans toucher au code.

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Rockstar Games a pris tout le monde de court en publiant, sans crier gare, un second trailer pour Grand Theft Auto 6, alors même que les fans s’attendaient à une longue période de silence avant la sortie. Ce nouvel aperçu, annoncé comme capturé sur PlayStation 5, permet de mieux cerner l’ambition visuelle, narrative et technique du titre, attendu le 26 mai 2026 sur PS5 et Xbox Series X/S.

Un teasing stratégique pour calmer la frustration

Après avoir reporté la date de lancement du jeu, Rockstar a opté pour une communication choc : offrir presque trois minutes de séquences directes, soigneusement montées, pour rappeler à quel point Vice City demeure l’un des univers les plus iconiques du jeu vidéo. Insistant sur la mention captured on PS5, le studio veut démontrer la puissance du moteur graphique, tout en attisant l’impatience des joueurs.

Vice City renaît sous un jour neón

Le trailer s’ouvre sur une vaste vue aérienne de Vice City, baignée par les lumières saturées et les néons caractéristiques des années 1980. Les gratte-ciels se découpent sur un ciel crépusculaire, tandis que l’on aperçoit au sol des avenues bondées :

Des palm trees qui se balancent au rythme d’une brise chaude. Des voitures sportives filant sur le bitume, reflets de chrome et sirènes en écho. Des plages animées et des yachts élégants au port.

Chaque plan met en valeur un souci du détail exceptionnel : textures du bitume, fluidité des vagues, variations météo dynamiques.

Jason et Lucia, protagonistes d’une Bonnie & Clyde moderne

Le cœur du trailer est consacré à la présentation des deux personnages principaux :

Jason Duval, vétéran de l’armée passé par des opérations secrètes, au visage marqué et à la carrure solide, qui semble prêt à basculer du côté obscur pour échapper à ses démons. Lucia Caminos, jeune femme récemment libérée, déterminée à prendre un nouveau départ, mais vite attirée dans les braquages et les fêtes clandestines.

La tension qui unit le couple se manifeste à travers des regards complices, des accolades sur un yacht, mais aussi des coups de feu échangés dans des entrepôts déserts et des poursuites effrénées sur des motos. Leur relation, évoquée dans des scènes de fête et de violence, dessine les contours d’une intrigue placée sous le signe de la trahison et de la quête de rédemption.

Focus sur les séquences marquantes

Le montage alterne entre :

Des tirs de précision dans la jungle urbaine, où l’on voit Jason viser à travers la lunette d’un fusil de sniper. Des cambriolages nocturnes, avec Lucia crochetant des portes et désactivant des systèmes de sécurité futuristes. Des scènes de boîte de nuit, où la musique pulsante et les éclairages stroboscopiques donnent le ton d’une vie de débauche. Des descentes en hélicoptère au-dessus de quartiers VIP, sous les regards ébahis des badauds.

Ces extraits indiquent déjà que le gameplay combinera infiltration, gunplay dynamique et exploration en véhicules divers (auto, avion, jet-ski).

À l’épreuve de la technique : un moteur moteur à l’extrême

Rockstar ne se contente pas de promettre une surface de jeu gigantesque : le trailer met en avant :

Une fidélité graphique de haut vol, avec des ombres portées et des effets de réflexion en temps réel. Une IA piétonne réactive, où chaque passant réagit au passage de votre véhicule ou à un coup de feu. Des particules de pluie et de poussière superbement rendues, renforçant l’immersion.

Le rendu du moteur laisse entrevoir un monde vivant, où chaque goutte d’eau sur un pare-brise peut être scrutée et où la circulation automobile répond à un système de trafic plus sophistiqué que jamais.

Un investissement titanesque pour un retour attendu

Les estimations financières placent le budget de développement de GTA 6 autour de 2 milliards de dollars, faisant de ce projet l’un des plus coûteux de l’histoire du jeu vidéo. Conjugué à une campagne marketing massive, Rockstar vise un record de préventes :

Des éditions spéciales déjà disponibles en précommande, avec contenus exclusifs (véhicules, tenues, properties immobilières). Des partenariats cross-médias, incluant bandes sonores officielles et collaborations avec des marques lifestyle. Une communauté de fans survoltée, qui analyse chaque image pour dénicher le moindre indice sur l’histoire et les lieux. Le compte à rebours est lancé

En attendant mai 2026, ce second trailer de GTA 6 a rempli sa mission : rappeler la puissance évocatrice de Vice City, révéler la dynamique de ses deux héros et confirmer que Rockstar ne ménage ni ses graphistes, ni ses scénaristes. Les interrogations demeurent sur le contenu final (niveaux d’interaction, multijoueur, mises à jour post-lancement), mais une chose est sûre : l’attente n’a jamais été aussi intense.

Ergonomie et fonctionnalités additionnelles

Au-dessus du pavé principale trône un potentiomètre rotatif. Il gère le volume par défaut, mais peut être assigné à d’autres commandes (navigation dans les onglets, contrôle de la luminosité, etc.). Son retour d’effort est équilibré, ni trop lâche ni trop dur, offrant un ajustement précis. La base du clavier est surélevée d’un angle ergonomique, avec des pieds escamotables qui permettent de jouer sur l’inclinaison selon son confort de frappe. Un repose-poignet optionnel, vendu séparément, complète le dispositif pour les longues sessions.

Disponibilité et tarif : un rapport qualité-prix très compétitif

Proposé à 159 $ hors taxes, soit environ 155 € TTC avec frais de port et douane, le KiiBOOM Moonshadow V2 se positionne comme un excellent choix pour qui cherche une mécanique premium sans exploser son budget. Disponible uniquement sur la boutique officielle KiiBOOM ou certains revendeurs internationaux, le clavier se décline en version Silver, Black & White ou Rose, chacune offrant un style distinct. Des promotions ponctuelles et des arrivages sur Amazon Italie la rendent parfois plus accessible encore.

Conclusion de fait : un clavier qui en a sous le capot

Sans révolutionner le segment, la Moonshadow V2 coche toutes les cases d’une mécanique haut de gamme : matériaux soignés, expérience de frappe exquise, personnalisation poussée et connectivité complète. Seul le layout ANSI USA pourra dérouter quelques utilisateurs de langue française, mais un simple changement de keycaps ou une remappage logiciel permet de contourner cet obstacle. Pour le reste, KiiBOOM démontre avec ce modèle qu’il sait allier design élégant et performances techniques, faisant de ce clavier une option de choix pour le bureau comme pour le gamer exigeant.

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By Octave